Qui ?

Bon.
J’ose.

« Why not ?! » que je me suis dit.

Au fond, c’est pas comme si j’écrivais déjà tous les jours sur le coin d’une table avec une plume, du papier jauni et une cigarette au bout des lèvres.

Ok.

Je ne fume pas (ou presque pas).
Je n’écrirais JAMAIS avec une plume (j’aime les choses propres).
Et j’aime le beau papier.
Mais je trouve ça inspirant l’image de l’écrivain torturé genre Virginia Woolf. Enfin bref.

Ça fait que, tant qu’à ne pas écrire ailleurs, pourquoi ne pas pas le faire sur une plateforme TELLEMENT 21e siècle que tout le monde a : LE BLOGUE.

Alors.
Voilà le mien.

Pour ceux et celle qui auraient commencé à le lire (Dieu qu’il est prétentieux de penser qu’on sera lu), on va mettre quelques choses au clair :

  • Je ne suis pas la chanteuse française. Je suis la VRAIE grande Sophie, pas une petite affaire de cinq pieds neuf. D’ailleurs, elle et moi devrions mettre ça au clair un jour.  Je lui proposerai de changer son nom d’artiste. La Sophie-qui-chante.
    Moins glamour, mais bon. Ne mesure pas 6 pieds qui veut.
    Pis moi ben je chante pas.
    Chacun son truc.
  • Je n’écrirai pas pour défendre quoi que ce soit, revendiquer quoi que ce soit ou philosopher sur quoi que ce soit ; j’aime les tranches de vie, les montées de lait, les phrases quétaines, les vidéos de gens qui tombent et les palmarès de high five fails, les chiens, les histoires d’amour, le popcorn, les fleurs, les fleurs, encore les fleurs et la neige. J’haïs les chats et le yoga, je n’aime pas les gens qui écrivent de grandes phrases à cent piastres et se relisent à haute voix en se trouvant brillants et je crois viscéralement que la chose la plus importante dans la vie, c’est d’être gentil. Juste ça.
    Je pourrais faire mon intello.
    Ma décennie passée à l’Université me le permet sans doute — ici, SEUL moment où je vais faire ma fraîche — .                                                                                  .

    Mais j’ai vraiment pas l’goût.

Voilà.

Rien de prétentieux.
Pas de grandes idées non plus.
Ici, tout ce qu’il y a de grand ben, c’est moi.

 

– La (vraie) grande Sophie

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